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3 janvier 2013 4 03 /01 /janvier /2013 17:51
anacgabon.org, 10h25

La compagne aérienne Air France ne reprendra pas son vol hebdomadaire entre Paris et Bangui avant la fin du mois, en raison de la tension en République Centrafricaine. Après avoir fait faire demi-tour le 26 décembre 2012 au vol AF780 reliant l’aéroport de Paris – Charles de Gaulle à la capitale centrafricaine, suite à des manifestations violentes devant l’ambassade de France, la compagnie a décidé d’attendre jusqu’au 30 janvier 2013 au plus tôt pour reprendre sa rotation hebdomadaire. La situation reste très tendue à Bangui, les rebelles du Séleka menaçant de s’emparer de la ville de Damara, considérée comme le dernier bastion des forces gouvernementales sur la route de la capitale. Des pourparlers de paix sont censés commencer la semaine prochaine au Gabon, mais au moins un pays, le Tchad, a procédé à l’évacuation de ses ressortissants.

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21 septembre 2012 5 21 /09 /septembre /2012 00:10

 

hôtel 300 chambres Bangui

 

 

Afrik.com  mercredi 19 septembre 2012 / par Fred Krock


Le président de la République, François Bozizé Yangouvonda a coupé le ruban symbolique de l’hôtel Ledger Plaza Bangui, le 15 septembre 2012. L’inauguration a eu lieu en présence des hauts représentants de la Lybie en Centrafrique et des autorités centrafricaines dont le ministre du Développement du tourisme, Mme Sylvie Annick Mazoungou.


(De notre correspondant)

 

Tous les qualificatifs désignant le prestige ont été à ce rendez-vous du tourisme. « Un bijou » pour le président de la délégation spéciale de la ville de Bangui, M. Nazaire Yalanga ; « un joyau » pour le Directeur général de l’hôtel, M. Steven Hameeuw ; « un hôtel haut standing » pour le ministre du tourisme, Mme Sylvie Annick Mazoungou. Il s’agit en fait du premier hôtel en son genre, car étant d’un standing digne d’un « hôtel 5 étoiles » selon une mission de contrôle international qui a validé 800 points conformes aux normes internationales. C’est un hôtel de 160 chambres dont le coût est évalué à 30 millions d’euros.

 

Ces dernières années, la République centrafricaine cherche des voies et moyens pour son développement en dépit d’un environnement socio-économique et sécuritaire précaire. L’une des voies identifiée à cet effet est le développement du tourisme qui devrait vendre l’image de la RCA à l’extérieur et drainer des investisseurs.

 

Evidemment sur ce label, plusieurs actions planifiées dans le Plan directeur du développement du tourisme sont menées pour redynamiser le secteur. Entre autres, le renforcement des capacités techniques et institutionnelles du département et des élèves de l’école d’hôtellerie et du tourisme de la CEMAC de NGaoundéré au Cameroun ; la création d’un environnement favorable au développement du secteur privé et des investissements dans le secteur touristique ; et la valorisation des sites touristiques notamment à travers la promotion d’un tourisme de proximité autour de Bangui.

 

Le secteur touristique centrafricain, un secteur en plein essor


A ce jour, le nombre de chambres des établissements hôteliers est passé de 241 en 2005 à 547 en 2011, soit une augmentation de 126,79 % ; de 78 en 2005 à 714 en 2011 dans la para hôtellerie à Bangui et à l’intérieur du pays. Le taux d’occupation annuel moyen des établissements hôtelier de Bangui est passé de 41% en 2005 à 62,40% en 2010, soit une augmentation de 24,4 points. L’augmentation du nombre de touristes internationaux passant de 19 001 en 2005 à 108 148 en 2010, soit une croissance de 469,17%.

 

Selon le ministre libyen des Affaires étrangères, son pays qui vient à peine d’accéder à la gestion démocratique de la chose publique, continuera à appuyer d’autres initiatives du genre en République centrafricaine comme dans les autres pays coopérant avec la Libye.

 

Quant à Mme Sylvie Annick Mazoungou, l’inauguration de l’hôtel Ledeger Plaza Bangui est venue « consolider les efforts consentis par son département pour l’émergence d’un secteur touristique fort ». Elle a ajouté que d’ici peu, le vétuste hôtel Oubangui (Sofitel Hôtel) qui faisait l’honneur du pays sera réhabilité.

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8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 00:16

 (Infosplusgabon 07/06/2012)

LIBREVILLE, 7 juin (Infosplusgabon) - Ecobank Transnational Incorporated a été désignée Banque africaine de l’année 2012 lors des African Banker Awards. Arnold Ekpe, Directeur Général du Groupe, a été distingué du trophée « Carrière exemplaire » pour sa contribution au secteur bancaire africain, rapporte un communiqué de presse du Groupe Ecobank
Les prix annuels, qui récompensent les meilleurs talents et les réalisations dans le secteur financier en Afrique, ont eu lieu sous le patronage de la Banque Africaine de Développement lors de son assemblée générale annuelle tenue à Arusha, en Tanzanie.

Commentant le succès de Ecobank, Omar Ben Yedder, l’éditeur du magazine African Banker a déclaré :

« Il s’agit d’une autre année marquante pour Ecobank en particulier avec l’acquisition de Oceanic Bank au Nigeria, en plus des performances financières très solides réalisées par le Groupe dans son ensemble. Pour ce qui est de son empreinte géographique et de ses réalisations, il poursuit son développement et reste en avance sur ses concurrents. Son activité de banque d’investissement, bien que moindre par rapport à ses concurrents, se développe de plus en plus rapidement avec la conclusion d’un certain nombre d’accords historiques en 2011. »

La contribution exceptionnelle de M. Ekpe au monde des affaires en Afrique, tout au long d’une carrière de plus de 30 ans, a en outre été reconnue par un trophée « Carrière exemplaire » lors des quatrièmes African Business Leadership Awards ("ABLA"). ABLA a été créée pour récompenser les réalisations des chefs d’entreprise responsables et éthiques dans le secteur privé. C’est le Ministre de l’Economie et des Finances du Sénégal, M. Amadou Kane, qui a remis à M. Ekpe son trophée.

Arnold Ekpe, Directeur Général du Groupe Ecobank, a fait observer que : « Cela a été pour moi un privilège de superviser le développement de Ecobank au cours d’une période de croissance rapide et d’innovation. Je suis immensément fier de ce que mon équipe de professionnels hautement qualifiés et très engagés a réalisé pour parvenir à bâtir la première banque panafricaine. Ces prix sont un témoignage de leur travail acharné et de leur détermination de tous les jours. »

Constitué à Lomé, Togo, Ecobank Transnational Incorporated est la maison mère du groupe Ecobank, le principal groupe bancaire régional indépendant d’Afrique. Le groupe est présent actuellement dans 32 pays africains, à savoir : Afrique du Sud, Angola, Benin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Cap Vert, Congo (Brazzaville), Congo (République Démocratique), Côte d’Ivoire, Gabon, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Kenya, Libéria, Malawi, Mali, Niger, Nigéria, Ouganda, République centrafricaine, Rwanda, Sao Tomé e Principe, Sénégal, Sierra Leone, Tanzanie, Tchad, Togo, Zambie et Zimbabwe.

Le groupe est détenu par plus 585 000 actionnaires institutionnels et individuels locaux et internationaux. Il emploie plus de 23 355 personnes, ressortissants de 35 pays, dans plus de 1 151 agences. Ecobank est une banque universelle offrant les produits et services de la banque de grande clientèle, de détail d’investissement et les services monétiques, aux gouvernements, aux institutions financières, aux sociétés multinationales, aux agences internationales, aux moyennes, petites et micro entreprises, et aux particuliers.

FIN/INFOSPLUSGABON/ANL/GABON 2012

© Copyright Infosplusgabon

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30 mars 2012 5 30 /03 /mars /2012 10:52

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Installé au PK0 au centre-ville à la Place de la République à Bangui il y a quelques mois par la Société MEDIAPRINT, L’écran géant au modèle Time Square à New York  de a pris feu le matin du lundi 19 mars 2012. Selon les informations qui nous sont parvenues, il s’agirait d’un problème technique ayant conduit à un court-circuit qui a provoqué l’incident. D’ores et déjà, la Société Média-print de M. Elie Allard Namtoli s’est remise à l’œuvre pour réparer et réinstaller l’appareil endommagé.

Des experts de la société sont à pied d’œuvre, nous apprend-on et qu’il n’est question que de financement pour que l’appareil en question puisse fonctionner normalement. L’écran géant qui a pris feu, a été installé il y a quelques mois au rond point du pk0 à Bangui et a même diffusé des matchs de la Coupe d’Afrique des nations 2012, mais aussi des programmes de la télévision centrafricaine et des publicités, fonctionnant nuits et jours depuis le jour de son installation. Il a servi aussi à la distraction à plusieurs centrafricains mais c’est aussi une première de ce genre à Bangui comme le Time Square à New York. Cependant, les techniciens n’ont pas pris le soin de protéger cet appareil qui a subi des cas d’intempérie.

Notons que la société MEDIAPRINT dirigée par MM. Elie Allard Namtoli et Didier Martial Pabandji, a fait vivre à la population centrafricaine de nouvelles reformes tant technologiques que numériques mais précisons que ce ne sont pas tous les centrafricains qui sont pour les performances de cette société car certaines personnes souhaiteraient la voir en faillite. Nous y reviendrons dans nos prochaines éditions.

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16 janvier 2012 1 16 /01 /janvier /2012 23:24
Azur RCA: «Nos prochains enjeux portent sur le développement des services data et internet»

Yannick Bourdeu, directeur général d’Azur RCA, est optimiste. Sa base client a doublé en moins d’une année. Son prochain challenge : le web mobile et les services à valeur ajoutée. Entretien.

Yannick_Bourdeu

Il y a presque un an, Nationlink devenait Azur RCA. A l’époque, votre objectif est de faire cette nouvelle marque, la marque préférée des centrafricains. Quel bilan tirez-vous de cette opération de rebranding ?
Yannick Bourdeu : Avant tout propos, nous remercions le magazine Réseau Télécom qui nous offre une belle tribune pour présenter notre marque Azur, qui est toute nouvelle sur le marché africain.

En effet nous fêtons à la fin de cette année 2011, l’anniversaire de la marque Azur en République centrafricaine. Azur qui existe déjà au Gabon et au Congo appartient au Groupe Bintel qui ambitionne d’être un opérateur de référence en Afrique subsaharienne.

Pour être plus précis sur votre question, le rebranding de Nationlink en Azur nous a permis de nous positionner comme un opérateur de référence en Centrafrique. L’adoption de la marque a été systématique et nous avons réalisé des performances extraordinaires depuis le lancement de notre nouvelle marque. Notre base client a presque doublé en moins d’une année avec un gain en part de marché de près de 10% ; nous sommes ainsi  très satisfaits et optimistes quant aux objectifs que nous nous sommes fixés.

Comment se positionne Azur RCA dans cet environnement très concurrentiel marqué par la présence de quatre opérateurs ?
YB : Azur RCA est l’opérateur ayant le positionnement le plus clair sur le marché,  nous offrons des services au meilleur rapport qualité/prix, en toute transparence et simplicité. Aujourd’hui nous proposons sur le marché les tarifs les plus bas, avec une facturation à la seconde. Et notre client reçoit, après chaque appel, la durée et le prix de l’appel effectué.

De plus un de nos meilleurs atouts reste la qualité de notre réseau, toutes les études le confirment, en plus de nos tarifs. Ces éléments, très appréciés par nos clients, sont les piliers de notre différenciation, accompagnés d’une stratégie de proximité de la marque avec ses clients.

Comment expliquez-vous le taux de pénétration élevé du marché de la téléphonie mobile ? Les tarifs des opérateurs sont-ils plus attractifs ?
YB : En moins de deux décennies la téléphonie mobile a entièrement bouleversé le mode de vie des populations. L’Afrique offre des réelles opportunités de croissance pour les années à venir du fait des besoins énormes en connectivité. Pour le cas particulier du marché centrafricain, le taux de pénétration reste en deçà de la moyenne africaine, ce qui est nous rend encore plus optimiste quand à l’avenir de notre business.

Les tarifs évidemment restent l’axe majeur pour pénétrer les marchés car ils jouent le rôle de « filtre sélectif » pour le ciblage des prospects que l’on veut acquérir. Ainsi plus les coûts d’accès (prix des terminaux et des communications) baissent plus les services se vulgarisent davantage pour le bien du plus grand nombre.

Quelles sont les principales innovations que vous envisagez introduire prochainement ?
YB : Nos prochains enjeux portent sur le développement des services data et internet où la demande est de plus en plus grande, avec une forte exigence de qualité de service. Nous clients attendent de nous une cohérence de notre positionnement, et c’est bien sûr sur cette ligne que nous allons rester en offrant le meilleur rapport qualité/prix avec toute la simplicité dans l’utilisation des services.

Le mobile banking est une réalité chez la plupart des opérateurs de télécommunications. Comment Azur RCA, envisage t-il tirer profit de cette technologie ?
YB : Aujourd’hui pour la RCA, le mobile banking offre une opportunité de pouvoir  développer les échanges commerciaux, d’aider les entreprises à élargir leur gamme de modes de paiement et de rapprocher davantage les populations. Nous sommes à une phase d’opportunités qui nous permettra de proposer un service qui prenne en compte au mieux les besoins spécifiques des opérateurs économiques et des populations locales.

Vous venez d’être distingué en tant que Meilleur Opérateur Voix de l’Afrique centrale lors de l’ATP 2011 à Abidjan. Qu’est-ce que cela représente pour vous ?
YB : Ce prix est dédié à toute la population centrafricaine, mais surtout à nos clients qui ont su faire confiance à notre marque en l’adoptant aussi rapidement. C’est aussi la consécration du travail de tous les salariés d’Azur RCA qui ont pleinement adhéré aux valeurs de la marque. Nous remercions aussi le Groupe Bintel, notre maison mère, pour son soutien total.

Cette distinction prouve que nous sommes sur la bonne voie et que nous devons  persévérer pour offrir le meilleur des services à nos clients, qui restent au cœur de toute notre stratégie.

Quels sont les projets structurants que vous pensez engager dans le court terme ?
YB : Bien entendu, nous continuerons à développer notre réseau, en, terme de capacité et de couverture, à Bangui et en province, mais aussi en proposant une gamme de plus en plus étendue de services à valeur ajoutées. Et comme indiqué précédemment, notre axe majeur de développement sera d’entrer dans le domaine de la transmission de données, en particulier pour fournir l’accès Internet en République Centrafricaine au meilleur prix, à haut débit et avec la meilleure qualité de service.

Propos recueillis par Mohamadou Diallo pour le magazine Réseau Télécom Network No 50

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11 janvier 2012 3 11 /01 /janvier /2012 13:47
 

Bozize-a-Bruxelles.jpg

 

 

BANGUI 9 janvier 2012 (AFP) - Les entreprises publiques centrafricaines ont été placées sous la direction d’un conseil spécial de surveillance et de redressement (CSSREOP) après la dissolution de leurs conseils d’administration, selon des décrets présidentiels diffusé lundi à la radio nationale.


"Il est créé un Conseil spécial de surveillance et de redressement des entreprises et offices publics (CSSREOP) en République Centrafricaine", afin "d’assurer la surveillance et le redressement de ces organismes", annonce le décret, précisant que le conseil sera dirigé par le président centrafricain François Bozizé.


Selon un autre décret présidentiel lu lundi à la radio nationale, "sont dissout tous les conseils d’administration des entreprises et offices publics (...) les pouvoirs et conseils d’administration de ceux-ci sont désormais exercés par le CSSREOP".


Sont concernées, neuf sociétés d’Etat, huit offices publics, huit agences et quatre fonds.

 
La présidence centrafricaine a annoncé à la fin du mois dernier des mesures afin de "sécuriser les recettes de l’Etat et améliorer la maîtrise des dépenses publiques", à partir du 1er janvier 2012.


Le président Bozizé avait annoncé au mois de septembre devant l’Assemblée nationale vouloir prendre "toutes les mesures" pour mettre "hors d’état de nuire" les auteurs de malversations financières.


La Centrafrique est classée 154e, sur 182 pays, dans le dernier indice de perception de la corruption (2011) de l’organisation Transparency international.

 

 

 

NDLR : Après les dissolutions de ces entreprises, on attend maintenant l'entrée dans la danse de la justice pour engager les poursuites qui s'imposent contre les auteurs des détournements de deniers publics qui sont légion dans la bozizie et pourtant bien identifiés mais que le pouvoir de Bozizé n'a jamais daigné inquiéter. Bozizé aura-t-il le courage d'aller jusqu'au bout de la démarche?


En réalité la dissolution des Conseils d'administration des Sociétés d'Etat et des Offices publics ne sont pas des mesures prises pour sécuriser les recettes de l'Etat ni améliorer la maîtrise des dépenses publiques mais plutôt pour renflouer les caisses du trésor public qui qui comme on le sait, sont désespérément vides.


A l'heure d'aujourd'hui, les comptes bancaires de toutes ces Sociétés d'Etat et offices publics et fonds sont bloqués. Aucun mouvement n'est opéré sur ces comptes en attendant les instructions du Président du CSSREOP qui n'est autre que Bozizé. En d'autres termes le secteur para - public est pris en otage et son personnel se prépare à entrer dans une tourmente et un cycle d’arriérés de salaires, un environnement social auquel ces personnels ne sont nullement habitués.


Selon nos informations, des démarches sont en train d'être menées par les DG des offices dits à caractère social tels que l'ACFPE, la CNSS...

 

Repris sur Centrafrique-presse

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8 décembre 2011 4 08 /12 /décembre /2011 17:35
La solennité de l’évènement qui a eu lieu en présence des autorités centrafricaines et de tout le corps diplomatique et consulaire accrédité en République Centrafricaine témoigne de son importance. Il était 19 H 52 minutes lorsque la compagnie camerounaise «Camair-co» atterrissait sur le tarmac de l’aéroport international Bangui M’Poko sous les acclamations de la colonie camerounaise en Centrafrique ayant fait le déplacement de l’Aéroport. A bord de l’appareil, le Directeur Général de la Camair-co, Monsieur El Ek, les cadres et autres invités de marque et sur le tarmac, le ministre délégué à l’Aviation civile et au transport aérien, Monsieur Théodore Jousso, le Président de la Délégation spéciale de la Ville de Bangui, Nazaire GuénéféïYalanga, le Chargé d’Affaires de l’Ambassade camerounaise en Centrafrique, Monsieur Nicolas Nzoyoum. Conduite au Restaurant Carré Gourmand pour les cérémonies officielles, la cérémonie a été rehaussée par la présence du ministre d’Etat aux Finances et Budget, M. Sylvain Ndoutingaï, représentant le Premier ministre centrafricain et Madame le ministre du Commerce et de l’Industrie, MoorlomRoosalem. © journaldebangui.com Camair-co s'est posé à Bangui Retour tant attendu C’est le ministre centrafricain chargé de l’Aviation civile et du transport aérien qui le déclare. Aujourd’hui, la République Centrafricaine est fière d’accueillir sur son sol, la nouvelle compagnie camerounaise Camair-co dont le retour est si attendu et souhaité par les Centrafricains et centrafricaines mais aussi d’autres nations vivant sur le sol centrafricain et ayant pour destination privilégiée, les villes de Douala et Yaoundé au Cameroun. La desserte de la République Centrafricaine par «Camair-co», rajoute le ministre centrafricain en charge de l’Aviation civile et du transport aérien, contribuera au désenclavement de la République Centrafricaine et à son ouverture vers le monde extérieur. Le Chargé d’Affaires de la Camair-co en Centrafrique, M. Nicolas Nzoyoum n’a eu d’autres mots à dire que d’exiger de cette nouvelle compagnie, trois défis principaux à relever que sont la qualité de service, la régularité et la ponctualité. Des qualités essentielles qui garantiront la confiance entre la compagnie et les clients. La reprise des activités de la Camair-co en Centrafrique, explique le Chargé d’Affaires, constitue l’expression d’un triple témoignage. Primo, elle est le témoignage de l’excellence des relations existantes entre les deux pays – la République Centrafricaine et le Cameroun représentés par leurs Présidents François BozizéYangouvonda du Centrafrique et Paul Biya du Cameroun. Deuxio, il témoigne de la traduction dans les faits, des grandes réalisations prévues par le président camerounais Paul Biya durant la campagne électorale. Tertio, Camair-co témoigne, selon le Chargé d’Affaires de l’Ambassade camerounaise en Centrafrique, de la volonté des autorités camerounaises de contribuer effectivement à l’intégration sous régionale au sein de la CEMAC – entendez Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale dont fait partie le Centrafrique et le Cameroun. © http://www.camair-co.cm/ Le Centrafrique, une plaque tournante De par ses avantages et ses inconvénients, rajoute le représentant du Premier ministre centrafricain et ministre d’Etat aux Finances et au Budget, Sylvain Ndoutingaï, la République Centrafricaine, située au cœur de l’Afrique, constitue une plaque tournante pour les activités commerciales de la sous-région. Jouant un rôle important dans le développement des pays et notamment la République Centrafricaine, précise le ministre centrafricain des Finances et du Budget, le transport aérien facilite la libre circulation des personnes et des biens et constitue le moyen le plus sûr de déplacement et est un facteur déterminant d’intégration politico-économique. Et Camair- co, contribue à cet effort d’intégration sous régionale, a mentionné Sylvain Ndoutingaï. Avec un parc de trois avions dont 2 Boeing 737 et 1 Boeing 747 destinés à voler, rajoute le Directeur Général de Camair-co, l’avènement de cette compagnie est l’expression d’un vieux projet qui consacre les liens d’amitié entre les peuples centrafricains et camerounais. Pourvu que cette belle aventure professionnelle, bilatérale et multilatérale représentée par Camair-co, comme l’a mentionné le Président de la Délégation spéciale de la Ville de Bangui, Nazaire GuénéféïYalanga puisse consolider les liens d’amitié séculaire qui existent entre les deux pays au service de l’intégration sous régionale. Dotée d’abondantes ressources naturelles, la République Centrafricaine (RCA) n’en reste pas moins un pays pauvre qui a besoin de la solidarité sous-régionale pour sortir de son état d’enclavement. Cette solidarité sous-régionale maintes fois affirmée est en train de prendre une autre forme avec la desserte de la Capitale centrafricaine par la Camair-co qui, aux côtés d’autres Compagnies africaines, assurera la desserte de la République Centrafricaine. Par Journaldebangui.com
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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 13:40

chantier Ngouandjika building hôtelier


http://ecofinance.mutations-multimedia.com/index.php/component/k2/item/279-le-40-plus-riches-africains  25-11-2011

 

Le Nigérian Aliko Dangote pèse 10,1 milliards de dollars


Le magazine américain Forbes qui a lancé le mois dernier une édition africaine à Johanesbourg a dévoilé le 16 novembre le premier classement des 40 fortunes africaines.

 

Ce classement des 40 personnalités les plus riches du continent africain, met en évidence 15 Sud-Africains, 9 Égyptiens, 8 Nigérians et 5 Marocains. On compte d'après notre confrère américain 16 milliardaires en dollars.

 

Le Nigérian Aliko Dangote déjà premier africain dans le classement des fortunes de la planète rendu public en janvier dernier toujours par Forbes,  arrive en tête avec un patrimoine de 10,1 milliards de dollars (7,4 milliards d’euros). Le magnat du ciment et de la minoterie est en situation depuis qu'il nourrit des ambitions d’expansion sur le continent et notamment au Cameroun.

 

Tirée du sous-sol sud-africain, la fortune de la dynastie sud africaine des Oppenheimer, estimée à 6,5 milliards de dollars, les place au second rang du classement. Ces milliardaires du diamant ont été longtemps la première fortune du continent. Et la vente récente des parts du groupe dans la compagnie De Beers, leader mondial du diamant, pour la somme de 5,1 milliards de dollars devrait encore accroître leur surface financière.

 

Année d'épreuves

 

Autre grandes famille dans ce classement, les Sawiris. C'est une dynastie égyptienne fondée par Onsi, le patriarche (81 ans), qui « pèse » 2,6 milliards de dollars. Aujourd'hui ses fils Nassef, troisième fortune du continent (4,75 milliards), et Naguib (2,9 milliards) pèsent plus lourd que lui. Nassef, le patron d’Orascom Construction, a connu un année 2011 d'épreuves : alors qu’il était, en 2010, l’homme le plus riche du continent, son patrimoine, affecté en Bourse après le Printemps arabe et la crise financière, a perdu plus de 1,15 milliard de dollars.

 

Le Maroc est sixième du classement avec Miloud Chaâbi, 82 ans, alias « le capitaliste rouge », qui est considéré comme le Crésus marocain (3 milliards de dollars). On trouve aussi le banquier Othman Benjelloun, classé onzième et talonné par un autre grand patron marocain, Anas Sefrioui (1,75 milliard), qui dirige le groupe immobilier Addoha.

Terres agricoles

 

Les anglophones d'Afrique australes sont naturellement présents avec des hommes politiques comme Uhuru Kenyatta, actuel ministre kényan des Finances et fils du premier président du pays qui a fait fructifier les terres agricoles acquises par son père. Il dispose d’un patrimoine de 500 millions de dollars. Quant à Cyril Ramaphosa, lui aussi un politique, ancien numéro deux de l’ANC et Président du conseil d'administration de MTN, il occupe la 36e place, avec 275 millions de dollars.

 

Parmi les absents, les francophones et les femmes. En 2011, aucune entrepreneur de la zone CFA ni aucune femme africaine ne disposaient des 250 millions de dollars nécessaires pour intégrer le club des riches de Forbes.

Michael Tobias  vendredi, 25 novembre 2011 09:35

 

 

NDLR : Forbes a manifestement oublié dans ce classement, les quelques milliardaires centrafricains, richissimes,  qui déclarent cracher sur leurs malheureux salaires de ministre de la RCA ?

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20 novembre 2011 7 20 /11 /novembre /2011 14:56
                              Le ministre d'Etat aux Finances et au Budget Sylvain NDOUTINGAÏ 
Bangui, 18 nov 2011 19:19 (AFP) - Le Fonds monétaire international (FMI) estime que "la situation des finances publiques demeure difficile" en Centrafrique et que "l'activité économique en 2011 a été en-deçà des attentes", dans un communiqué paru vendredi au terme d'une mission de travail de deux semaines.

"La situation des finances publiques demeure difficile, étant donné la faible mobilisation des recettes et le non-décaissement des appuis budgétaires attendus", affirme la mission. "L'activité économique en 2011 a été en deçà des attentes, en raison de la période électorale prolongée et des préoccupations sécuritaires", selon le communiqué.

"La croissance du Produit intérieur brut (PIB) réel est estimée à 3,1% contre 3,3% en 2010, tirée par le secteur agricole et la reprise modeste des exportations de bois et de diamants", indique encore la déclaration.

"Grâce à la reprise des exportations de produits forestiers et de diamants, le solde des transactions courantes extérieures devrait se stabiliser, malgré une réduction des appuis extérieurs", précise la mission.

"Reconnaissant le besoin d'améliorer l'exécution budgétaire et d'accélérer les réformes structurelles, le gouvernement a déployé des efforts de clarification des dépenses de trésorerie et mis en place un certain nombre de mesures en réponse aux recommandations de la mission de juillet dernier: notamment le renforcement de la Commission de suivi des liquidités, l'amélioration de la transparence budgétaire, et le renforcement de la cellule de suivi des réformes économiques et financières", souligne la mission.

Toutefois, avertit-elle, "les progrès dans la mise en oeuvre de ces mesures constitueront la base pour le retour d'une équipe du FMI à Bangui au cours du premier trimestre 2012 afin de discuter du programme des réformes des autorités". Conduite par Norbert Toé, chef de la délégation du FMI, la mission a séjourné du 3 au 16 novembre à Bangui.

L'Etat centrafricain a longtemps été en crise de paiement. Avant l'arrivée en 2008 de l'actuel Premier ministre Faustin-Archange Touadéra, dont l'administration a recommencé à payer régulièrement les salaires des fonctionnaires, ceux-ci pouvaient accuser jusqu'à 36 mois de retard.
Source: Centrafrique-presse
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28 octobre 2011 5 28 /10 /octobre /2011 12:44

LEMONDE.FR 

 

La page d'accueil de Facebook.

La page d'accueil de Facebook.AFP/JUSTIN SULLIVAN

Le réseau social Facebook a dévoilé, ce jeudi, de nouvelles fonctionnalités de sécurité à destination de ses utilisateurs, visant à limiter les risques de détournements de comptes. Facebook propose notamment à ses utilisateurs de choisir entre trois et cinq "amis de confiance", qui permettront au titulaire d'un compte piraté d'en reprendre le contrôle.

Le principe est simple : en cas de détournement, l'utilisateur peut demander à Facebook d'envoyer des codes à ses "amis de confiance". A charge pour lui de contacter ces personnes par téléphone ou par e-mail pour récupérer les différents codes. Une fois l'ensemble des mots de passe entrés, l'utilisateur récupèrera le contrôle de son compte et pourra en réinitialiser le mot de passe.

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Facebook proposera également désormais à ses utilisateurs de mettre en place des mots de passe complémentaires pour les applications qu'ils utilisent sur le réseau social. Une mesure destinée en particulier aux membres qui jouent à des jeux en ligne ; un grand nombre de jeux utilisent des monnaies virtuelles, dont certaines sont convertibles en argent réel.

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